Échecs répétés de FIV: pourquoi l’embryon ne s’implante pas?

Par (gynécologue), (gynécologue), (gynécologue), (embryologiste) et (invitra staff).
Dernière actualisation: 06/11/2020

L'échec de nidation embryonnaire est un problème qui se produit chez la femme qui souhaite tomber enceinte sans succès, malgré des rapports sexuels non protégés fréquents.

Les couples qui rencontrent ce problème ne savent pas réellement s'il s'agit d'échecs de nidation à répétition ou si, au contraire, il s'agit de leurs gamètes (ovule et spermatozoïdes) qui sont incapables de féconder et de donner lieu à un embryon qui s'accroche dans l'utérus.

La fécondation in vitro permet de détecter les échecs de nidation en observant le développement embryonnaire en laboratoire et ainsi savoir s'il s'agit d'un problème de gamètes ou de nidation.

Vous trouverez ci-dessous un index des 8 points que nous allons aborder dans cet article.

La nidation de l'embryon

La nidation est l'adhésion de l'embryon à la paroi utérine pendant la période de la fenêtre implantatoire, qui a lieu de 6 à 7 jours après la fécondation, ce qui produit la grossesse.

La fenêtre implantatoire est une période d'entre 2 et 6 jours où l'emdomètre est réceptif, et où il présente les conditions nécessaires pour l'accueil des embryons et leur implantation. Les caractéristiques idéales de l'endomètre pour favoriser l'implantation de l'embryon sont une épaisseur de 7 à 9 mm et un aspect trilaminaire.

Le processus de nidation est divisé en deux périodes:

Période pré-implantatoire
elle est constituée de la préparation de l'endomètre, la division précoce de l'embryon et l'apposition.
Période implantatoire
l'embryon au stade de blastocyste est fixé à l'endomètre.

Ce processus n'est ni facile ni simple, et requiert un embryon sain et un endomètre réceptif, ainsi qu'un dialogue et une synchronisation des deux.

Qu'est-ce qu'un échec d'implantation?

On parle d'échec d'implantation lorsqu'une patiente n'arrive pas à tomber enceinte après 3 cycles de FIV avec ses propres ovules, ou après 2 cycles avec don d'ovules si:

  • La qualité des embryons est suffisante.
  • Aucun problème technique ne survient pendant le transfert.
  • Aucun problème évident d'utérus n'apparaît.

La patiente devra donc envisager d'entreprendre un traitement plus spécialisé afin d'augmenter ses chances de réussite.

Les causes

Il existe différents problèmes en rapport avec l'échec d'implantation, soit de l'embryon, soit de l'utérus maternel soit d'autres maladies.

Chacune des causes possibles d'échec de la mise en œuvre est décrite ci-dessous.

Causes embryonnaires

Elles sont principalement dues à des malformations génétiques de l'embryon ou des gamètes, à savoir l'ovule ou le spermatozoïde.

Certains embryons présentent des anomalies de la zone pellucide, ce qui les empêche de réaliser l'éclosion pour s'en libérer lors de la nidation.

La zone pellucide (ZP) est une membrane composée de glycoprotéines (assemblage de protéines et de corps glucidiques) qui entoure l'ovocyte et l'embryon après la fécondation.

Causes utérines

Certains facteurs réduisent la réceptivité endométriale, comme les facteurs suivants:

  • Infections chroniques asymptomatiques de l'endomètre.
  • Anomalies endocavitaires comme des polypes, ou des adhérences.
  • Anomalies de la fenêtre implantatoire, comme un déplacement avant ou après 6 jours après la fécondation.

Certaines anomalies peuvent être traitées avec des médicaments ou des techniques comme l'hystéroscopie.

Causes systémiques

Parfois les problèmes proviennent de troubles du fonctionnement de systèmes qui ne sont pas en rapport avec l'appareil reproducteur, comme par exemple:

Thrombophilies
Troubles du processus de coagulation. Bien qu'ils soient une cause d'échec de l'implantation, les problèmes de coagulation peuvent également entraîner des fausse-couche à répétition.
Anomalies du système immunologique
rejet de l'embryon en l'identifiant comme un corps étranger. Un exemple serait le syndrome des antiphospholipides, car le système immunitaire de la femme est très actif et endommage les cellules embryonnaires. Cela entraîne le rejet de l'implantation de l'embryon dans l'utérus de la femme.

On ignore pourquoi ces causes affectent l'implantation embryonnaire, mais les chercheurs tentent de trouver de nouveaux examens qui débouchent sur un traitement.

Solutions et alternatives

Il existe plusieurs solutions à disposition des scientifiques pour éviter les échecs d'implantation.

Culture séquentielle jusqu'au blastocyste

On applique une culture séquentielle aux embryons des patientes sujettes aux échecs d'implantation après la FIV pour observer leur développement jusqu'au blastocyste.

Par conséquent, le transfert embryonnaire sera réalisé le 5e jour et l'embryologiste sera capable de détecter s'il existe une anomalie pendant la croissance en laboratoire.

Le diagnostic préimplantatoire (DPI)

Les cas d'échec de nidation augmentent considérablement chez les femmes d'âge avancé en raison de l'augmentation des troubles chromosomiques de l'ovule. Aujourd'hui, il est possible de sélectionner les embryons sains en laboratoire grâce à la technique du DPI.

Ce dernier consiste à réaliser une analyse génétique d'une cellule extraite d'un embryon sans affecter son développement.

Vous pourrez trouver plus d'informations sur cet article: Qu'est-ce que le diagnostic préimplantatoire?

Si vous devez faire un traitement de fécondation in vitro pour devenir maman, nous vous recommandons d'utiliser le Rapport sur la fertilité. En 3 étapes simples, qui vous permettra de connaître les cliniques à l’étranger qui répondent à nos critères de qualité rigoureux. En outre, vous recevrez un rapport contenant des conseils utiles avant de réaliser des visites dans les cliniques.

Traitement par héparine

L'héparine est utilisée pour agir sur les thromboses (agrégation de sang obturant un vaisseau sanguin). En injection, elle sert à éviter les accidents thrombotiques, les troubles liés à une coagulation excessive (ou en prévention d'une coagulation trop importante).

Elle évite aussi les embolies artérielles pulmonaires (dues à la migration d'un caillot de sang qui va boucher une artère) ou cérébrales (AVC).

Elle est également utilisée dans la prise en charge des phlébites. Le traitement doit être pris avant la grossesse et continuer après la naissance du bébé.

Test de réceptivité endométriale ou test ERA

Le test ERA (Endometrial Receptivity Array) est une méthode de diagnostic moléculaire qui permet d'étudier l'expression d'un ensemble de gènes en étroite relation avec l'état de l'endomètre. Par conséquent, il informe de la réceptivité de ce dernier lors de la biopsie endométriale.

  • Endomètre non réceptif : la possibilité de vitrifier les embryons et de les transférer lorsque l'endomètre est plus réceptif doit être envisagée.
  • Endomètre réceptif : le moment idéal pour le transfert d'embryons.

Éclosion assistée

L'éclosion assistée ou assisted hatching consiste à réaliser un petit orifice dans la zone pellucide de l'embryon pour faciliter son expulsion lorsqu'il s'est élargi.

Ce résultat est efficace pour permettre l'implantation des embryons dans une zone pellucide trop épaisse ou allongée (la ZP s'allonge provoquant l'aplatissement de l'ovule).

Pour plus d'informations sur cette procédure, vous pouvez consulter l'article suivant : Éclosion assistée avant le transfert embryonnaire.

Don d'ovocytes

Le don d'ovocytes reste la meilleure option face à des échecs d'implantation répétés lorsque les embryons sont transférés dans un utérus et un endomètre normaux.

On a observé une augmentation du taux d'implantation chez le type de patientes qui ont recours au don d'ovocytes pour obtenir des embryons de meilleure qualité.

Les embryons produits en laboratoire à partir d'ovules de jeunes donneuses saines sont généralement de bonne qualité. C'est pourquoi la FIV avec des ovules de donneurs a un taux de réussite élevé, bien qu'il soit également important de tenir compte des caractéristiques de l'endomètre de la femme réceptrice au moment du transfert d'embryon.

D'autre part, si un facteur masculin grave est diagnostiqué chez l'homme, cela peut également influencer l'implantation de l'embryon. Par conséquent, dans ces cas, il serait nécessaire de recourir à une FIV avec don de sperme.

La gestation pour autrui (GPA)

Après plusieurs échecs de FIV sans aucune raison apparente, la dernière option est d'avoir recours à la gestation pour autrui. La patiente peut employer ses propres ovules, si les embryons lors des FIV antérieures étaient de bonne qualité.

Cependant, la maternité de substitution n'est pas autorisée en France. Il sera donc nécessaire pour les patients qui le souhaitent de se rendre dans les pays où la maternité de substitution est prévue par leur législation.

Vous pouvez obtenir toutes les informations dans l'article suivant : Qu'est-ce que la gestation pour autrui ?

Vos questions fréquentes

Quelles sont les principales causes de l'échec de l'implantation embryonnaire?

Par Dr. Joel G. Brasch (gynécologue).

L'échec de l'implantation avec la FIV peut se produire en raison de problèmes de qualité de l'ovule ou du spermatozoïde, du tabagisme, de conditions de culture sous-optimales en laboratoire et de problèmes de réceptivité utérine. Des problèmes de réceptivité utérine peuvent survenir en raison de polypes fibromes, de septum, d'hydrosalpinges, d'endométrite chronique et de développement inadéquat de la ligne utérine (endomètre mince).

La vitamine D affecte-t-elle l'implantation de l'embryon ?

Par Dr. Blanca Paraíso (gynécologue).

Bien que traditionnellement seul le rôle de la vitamine D dans la santé des os ait été mis en avant, son rôle possible dans la fertilité suscite de plus en plus d'intérêt. Cette hormone possède des récepteurs dans tout l'organisme, y compris l'ovaire, l'endomètre et le placenta, et a été liée à des résultats en matière de reproduction et d'obstétrique.

Plusieurs études ont montré que des niveaux optimaux de vitamine D améliorent les chances de grossesse. Cependant, le mécanisme par lequel le taux de gestation augmente reste flou.

Dans une étude réalisée sur des receveuses d'ovules de donneuses, dans laquelle on suppose que tous les embryons seront de bonne qualité, on a constaté que les patientes ayant des taux de vitamine D corrects avaient plus de chances de tomber enceintes. Cependant, dans une autre étude utilisant le transfert d'embryons euploïdes (chromosomiquement sains), cet effet n'a pas été observé. Ainsi, bien que les preuves semblent indiquer que la vitamine D améliore effectivement la réceptivité de l'endomètre, son rôle est probablement plus complexe qu'il n'y paraît à première vue.

Un autre mécanisme possible par lequel la vitamine D pourrait augmenter les taux de grossesse est l'amélioration de la qualité des ovules. Il a été démontré que les taux sanguins de vitamine D sont proportionnels aux taux dans le liquide folliculaire, et on pense que la vitamine D peut pallier le vieillissement des ovaires, bien qu'il n'ait pas été possible de l'étudier directement dans les ovules.

Que dois-je faire pour obtenir une grossesse si j’ai déjà réalisé 3 FIV auparavant ?

Par Dr. Carmen Ochoa Marieta (gynécologue).

Arrêter. Étudier la cause possible et évaluer quel traitement de reproduction est indiqué en fonction des résultats obtenus.

Combien d’échecs d’implantation sont indicatifs pour réaliser un don d’ovocytes ?

Par Dr. Carmen Ochoa Marieta (gynécologue).

Un échec répété de l'implantation est considéré comme tel lorsque la grossesse n'a pas eu lieu après avoir transféré 10 embryons ou plus de bonne qualité au cours de traitements de procréation assistée effectués par la patiente ou à partir de 3 transferts embryonnaires ou plus, sachant que les embryons sont de bonne qualité.

L’implantation se fait en deux étapes, du côté de l’embryon et de l’endomètre, aussi, il conviendrait d’évaluer les deux variables.

Le transfert de blastocystes avec un DPI peut-il éviter les échecs d’implantation ?

Par Dr. Ana Mª Villaquirán Villalba (gynécologue).

On parle d'échec d’implantation lorsqu'une patiente n'a pas obtenu la grossesse après 3 cycles de FIV/ICSI avec ses propres ovocytes, ou après 2 cycles de don d’ovocytes, à condition que des embryons de bonne qualité aient été transférés et qu’il n’y ait eu aucun problème technique pendant le transfert embryonnaire, sans aucun problème évident dans l’utérus.

L’un des traitements pour les couples présentant des échecs d'implantation est le diagnostic génétique préimplantatoire (DPI) ou le preimplantation genetic screening (PGS), afin d’éliminer les anomalies chromosomiques. Dans ces cas-là, les embryons transférés dans l’utérus ne présentent aucune anomalie chromosomique pouvant être à l’origine des échecs d’implantation, c’est-à-dire que ce diagnostic permet de réduire les transferts d’embryons présentant des altérations et le nombre de transferts, rendant ainsi le traitement plus supportable sans autant de résultats négatifs, en plus de réduire les taux d'avortement.

Comment surmonter un échec de FIV ?

Par Zaira Salvador (embryologiste).

Beaucoup de patientes ressentent une tentative ratée de transfert comme une fausse couche, et ressentent une perte et du chagrin. Il est important que vous preniez du temps pour vous, et pour assimiler cet échec.

L'expérience que vous venez de vivre n'a été en aucun cas une perte de temps car elle sert à faire des ajustements pour le prochain cycle de FIV et à comprendre pourquoi elle a échoué.

N'hésitez pas à prendre quelques congés, et à vous changer les idées le plus possible avant de savoir si vous recommencez un nouveau cycle de FIV.

Il est conseillé de consulter un psychologue spécialiste qui pourra vous aider à surmonter cette épreuve.

Pourquoi un embryon ne s'accroche pas ?

Par Zaira Salvador (embryologiste).

La qualité de l'embryon et celle de l'utérus où il doit s'implanter sont les deux grands facteurs qui vont influer sur le taux de nidation, car il doit y avoir une synchronisation parfaite entre le développement embryonnaire et l’état de l'endomètre.

L'embryon ne peut s'implanter qu'au stade de blastocyste, au 7e jour et, l'endomètre doit, à ce moment précis, être prêt à accueillir l'embryon.

Il arrive aussi que la nidation ne se fasse pas correctement et que l'œuf s'implante en dehors de l'utérus, au niveau des trompes de Fallope par exemple. On parle alors de Grossesse Extra-Utérine (GEU).

Je n'ai toujours pas mes règles après un échec de FIV, est-ce normal ?

Par Zaira Salvador (embryologiste).

Le retard de règles est souvent dû au traitement que vous preniez avant le transfert et que vous continuez sans doute à prendre. La progestérone empêche l'endomètre de se détruire, ce qui provoque l'absence de règles.

Si l'absence perdure, il est recommandé de consulter son gynécologue afin qu'il vous conseille sur votre traitement.

La rédaction vous recommande

Les échecs répétés d'implantation embryonnaire se produisent après un cycle de FIV. Pour en savoir plus, suivez le lien: Qu'est-ce qu'une fécondation in vitro?

Comment reconnaître les symptômes d'une implantation embryonnaire réussie? Nous vous expliquons tout sur ce lien: Symptômes de la nidation.

La culture embryonnaire est l'une des étapes les plus importantes lors d’un traitement de fécondation in vitro (FIV). Vous trouverez plus d'informations ici: En quoi consiste la culture embryonnaire?

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Bibliographie

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Vos questions fréquentes: 'Quelles sont les principales causes de l'échec de l'implantation embryonnaire?', 'La vitamine D affecte-t-elle l'implantation de l'embryon ?', 'Que dois-je faire pour obtenir une grossesse si j’ai déjà réalisé 3 FIV auparavant ?', 'Combien d’échecs d’implantation sont indicatifs pour réaliser un don d’ovocytes ?', 'Le transfert de blastocystes avec un DPI peut-il éviter les échecs d’implantation ?', 'Comment surmonter un échec de FIV ?', 'Pourquoi un embryon ne s'accroche pas ?' et 'Je n'ai toujours pas mes règles après un échec de FIV, est-ce normal ?'.

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Auteurs et collaborateurs

Dr. Ana Mª Villaquirán Villalba
Dr. Ana Mª Villaquirán Villalba
Gynécologue
Diplômée en médecine de l'Universidad del Valle en Colombie, avec une spécialité en obstétrique et gynécologie, et un Master en reproduction humaine de l'Université de Valence et de l'IVI. Actuellement, elle est directrice médicale de la clinique de fertilité de Tahe. En savoir plus sur Dr. Ana Mª Villaquirán Villalba
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 303007571
Dr. Carmen Ochoa Marieta
Dr. Carmen Ochoa Marieta
Gynécologue
Diplômée en médecine de l'Université du Pays basque, avec un doctorat en médecine et chirurgie de l'Université de Murcie. Il dirige actuellement l'Unité de reproduction assistée du Centre d'études sur la reproduction (CER SANTANDER) à Santander et l'Unité de diagnostic de la médecine de reproduction à Bilbao. En savoir plus sur Dr. Carmen Ochoa Marieta
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 484805626
Dr. Joel G. Brasch
Dr. Joel G. Brasch
Gynécologue
Le Dr Joel Brasch est le directeur médical de Chicago IVF. Il est certifié par l'American Board of Obstetrics and Gynecology, et possède plus de 25 ans d'expérience directe dans le traitement de la fertilité et les soins de la reproduction. Il est également directeur de la Division d'endocrinologie de la reproduction et de l'infertilité au Mount Sinai Medical Center. En savoir plus sur Dr. Joel G. Brasch
 Zaira Salvador
Zaira Salvador
Embryologiste
Diplômée en Biotechnologie par l'Université Politécnica de Valencia (UPV), Biotechnology degree en la National University of Ireland en Galway (NUIG) et embryologiste spécialisée en Médecine Reproductive avec un Master en Biotechnologie de la Reproduction Humaine par l'Université de Valencia en collaboration avec l'Instituto Valenciano de Infertilidad (IVI) En savoir plus sur Zaira Salvador
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 3185-CV
Adapté au français par:
 Isabelle Gutton
Isabelle Gutton
inviTRA Staff

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