Taux de réussite de l’IAD et de la FIV avec don d’ovocytes et/ou de sperme

Par (gynécologue), (gynecologue), (gynécologue), (embryologiste) et (invitra staff).
Dernière actualisation: 13/11/2020

Les traitements de fécondation in vitro (FIV) avec don d’ovocytes et/ou de sperme et d'insémination artificielle avec sperme de donneur (IAD) présentent des taux de réussite plus élevés que les traitements réalisés avec les gamètes (ovules et sperme) des patients ou les grossesse obtenues naturellement.

Divers facteurs entrent en ligne de compte pour que tomber enceinte soit un succès, et les gamètes y jouent un rôle considérable. Il en découle un pourcentage de succès plus élevé pour les traitements de PMA avec don de gamètes.

Cela est attribuable au fait que les donneurs sont des personnes jeunes qui jouissent d’une bonne santé et sont exemptes d’anomalies génétiques ou de maladies affectant leur fertilité.

Vous trouverez ci-dessous un index des 10 points que nous allons aborder dans cet article.

Indications

Plus de 1000 cycles de dons d'ovules sont effectués chaque année en France, et 300 enfants en naissent.

Les principales raisons pour lesquelles les femmes doivent opter pour ce traitement avec don d'ovules afin de devenir mères sont les suivantes :

Âge maternel avancé
Au fil des ans, le nombre et la qualité des œufs diminuent. Après 35 ans, il est plus fréquent que les ovules commencent à accumuler des mutations, qui compromettent la viabilité des embryons ou même conduisent à des avortements répétés.
Faible réserve ou absence de fonction ovarienne
en raison d'une insuffisance ovarienne primaire, d'une insuffisance ovarienne prématurée, de la ménopause ou d'une chirurgie des ovaires.
Altérations génétiques
en cas de présentation d'une maladie génétique héréditaire qui peut être transmise aux descendants et qui ne peut être détectée par le diagnostic génétique préimplantatoire (DPI).
Échecs répétés de la FIV avec ses propres ovules
La faible réponse à la stimulation ovarienne, la mauvaise qualité des ovules et/ou des embryons (comme dans le cas des patientes atteintes d'endométriose), l'échec de la fécondation et/ou de l'implantation ou les fausses couches répétées sont les principales raisons pour lesquelles une grossesse peut ne pas être obtenue dans le cadre d'un traitement de FIV.

En bref, soit en raison de l'absence d'ovules, soit en raison de leur mauvaise qualité, lorsqu'une femme ne peut pas tomber enceinte avec ses propres ovules, elle peut recourir à un traitement d'ovodonation pour devenir mère.

Évaluer le succès ou l'échec d’un don

Connaître les taux de réussite de chaque traitement de procréation assistée est très utile pour calculer les probabilités de tomber enceinte en ayant recours à chacune des techniques possibles.

Ces taux ont une valeur indicative, et ne devraient pas être le seul critère de sélection pour choisir une clinique de fertilité, car baser ses décisions sur les seules statistiques peut être facilement source d’erreur.

Le premier aspect à considérer lorsque l’on compare les résultats de différentes cliniques est de s’assurer que les critères pris en compte sont les mêmes. Plusieurs types de taux peuvent être utilisés comme indicateurs de succès :

  • Le taux de grossesse, qui peut être comptabilisé dès la confirmation du test de grossesse positif ou au contraire attendre jusqu'aux semaines 8-12 de la gestation.
  • Le taux d'accouchement.
  • Le taux de natalité, qui est le plus important pour les futurs parents. Il comptabilise le nombre d'enfants nés vivants.

Malheureusement, toute grossesse n’arrive pas à terme, et la naissance de l’enfant n’a pas toujours lieu. C’est pour cela qu’il faut également prêter attention au taux de fausse couche (ou avortement spontané) et d’arrêt du développement de l’embryon.

Un autre critère à prendre en compte est la quantité de traitements de fertilité réalisés par la clinique, car les données qu’elle expose ne sont pas forcément représentatives.

Par exemple, si une clinique ne réalise qu’un seul traitement à un seul patient durant toute l’année, le pourcentage de réussite pourra être de 100% ou de 0%. Il est évident que cette donnée n’a aucune valeur, puisqu’elle provient d’un cas isolé.

Taux de réussite des FIV avec don d’ovocytes

Lorsque l’on fait référence au succès procréatif, il s’agit de naissances, et pas seulement de grossesse. Cependant, le plus souvent, les pourcentages de réussite des traitements de fertilité sont mesurés en fonction de la grossesse.

Les probabilités de tomber enceinte sont plus hautes en cas de FIV-DO, car, comme nous le commentions plus haut, les ovules de donneuses viennent de femmes jeunes, en bonne santé et disposant d’une bonne réserve ovarienne.

Quand une femme a recours au don d’ovocytes, la technique qui lui est proposée est la fécondation in vitro (FIV), qu’il s’agisse d’une FIV conventionnelle ou de la technique plus sophistiquée appelée ICSI (injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde, de l'anglais intracytoplasmic sperm injection).

Taux selon fécondation d'ovules frais ou congelés

Selon les résultat d’une étude réalisée en 2014 par la SEF (Sociedad Española de Fertilidad) à partir de 8238 transferts embryonnaires provenant de 9008 cycles de don d’ovocytes, le pourcentage de grossesse par transfert en Espagne est de 55,9% et le taux d’accouchement, c’est-à-dire, le taux de nouveau-né par transfert est de 36,4%.

Les résultats mentionnés ci-dessus concernent les cycles de don d’ovocytes frais. Si les embryons sont créés à partir d’ovules de donneuse qui ont subi un processus de vitrification, les taux de réussite sont plus bas :

  • Taux de grossesse par transfert : 39,7%
  • Taux de natalité par transfert : 24,7%

Cependant, l’étude ne mentionne pas si le sperme vient d’un donneur ou du partenaire. Par conséquent, nous ne pouvons pas savoir s’il s’agit d’une FIV double don (don d’ovocytes + don de sperme).

Elle ne tient pas compte non plus d’autres facteurs comme l’âge de la receveuse et la qualité des embryons, qui ont un impact fondamental sur le succès du traitement.

Taux de réussite selon l'âge de la patiente

Alors que le taux de grossesse moyen obtenu pour un cycle de FIV avec les ovocytes de la patiente tourne autour de 35-43%, le taux peut augmenter à approximativement 55-63% de réussite par cycle de FIV avec don d’ovocytes.

Les variations dépendent de la réceptivité de l’utérus. Il est prouvé que les taux de nidation et de grossesse sont plus bas chez les femmes de 45-50 ans que chez les femmes plus jeunes. Parallèlement, le taux de fausse couche augmente significativement à partir de 45 ans.

En moyenne, le taux de réussite de la FIV-DO (taux de grossesse) est de 69% pour les patientes de moins de 45, alors qu’il atteint tout de même 63% quand la receveuse a 45-50 ans.

Il est prouvé que le transfert d’un blastocyste à J5 (5 jours après la fécondation) permet aux patientes d’atteindre de meilleurs taux de grossesse par rapport au transfert d’un embryon à J3.

Nous vous proposons ci-dessous les taux de natalité par transfert d’embryons frais à J5, en fonction de l’âge de la receveuse :

  • Moins de 35 ans : 68,1%
  • Entre 35 et 37 ans : 52,7%
  • Entre 38 et 40 ans : 52%
  • Entre 41 et 42 ans : 37%

Les probabilités de succès augmentent avec le nombre de tentatives. En général, la plupart des femmes tombent enceintes après un maximum de 3 ou 4 tentatives de FIV-DO.

Grossesse après FIV ou IA avec sperme de donneur

Deux traitements d’infertilité différents font appel à du sperme de donneur :

  • Insémination artificielle (IA) avec sperme de donneur : le sperme est introduit manuellement dans l’utérus par l’intermédiaire d’une canule. Cette technique implique nécessairement l’usage des ovules de la future mère.
  • Fécondation in vitro avec don de sperme : on peut utiliser des ovules de donneuse (FIV double don) ou les propres ovules de la patiente, prélevés au préalable à l’aide d’une ponction ovarienne. La fécondation des ovules peut être réalisée par FIV conventionnelle ou par ICSI.

En ce qui concerne la fécondation in vitro avec sperme de donneur, on n'observe aucune différence avec la moyenne des traitements de FIV, car la quantité de sperme utilisée est infime et la qualité du gamète masculin n’intervient que dans une faible mesure dans les traitements comme l’ICSI.

D’un autre côté, on observe une grande différence entre les traitements d’insémination artificielle si l’on compare ceux réalisés en utilisant les gamètes du partenaire et ceux qui utilisent les gamètes provenant d’un donneur. Alors que les chances de tomber enceinte par insémination artificielle en utilisant le sperme du conjoint (IAC) atteignent 12-15%, elles montent à 18-25% en cas d’insémination artificielle avec sperme de donneur (IAD).

Le taux de grossesse par cycle pour les femmes de moins de 40 ans y est de 22%, alors que pour les femmes de 40 ans et plus il est de 13%. L’âge de la patiente est donc un facteur très important à prendre en compte dans le cadre d’une insémination artificielle, car la qualité des ovules se réduit significativement à mesure que les années passent.

Sur toutes les grossesses obtenues par IAD, 88,5% aboutissent à la naissance d’un seul bébé et 11,5% sont multiples, desquelles 10,1% sont gémellaires, 1,2% de triplés et 0,2% présentent plus de trois sacs gestationnels.

Après plusieurs tentatives d’insémination artificielle, les chances de grossesse augmentent, car le taux de grossesse est cumulatif. Cela signifie que si la femme ne tombe pas enceinte dès le premier cycle, les probabilités de succès du traitement de PMA augmentent à la deuxième, troisième ou quatrième tentative.

60-70% des femmes tombent enceintes suite à un maximum de 4 cycles d’insémination artificielle. Si le succès n’est pas au rendez-vous après 4 tentatives, il est recommandé de tenter la fécondation in vitro, une technique de procréation assistée plus complexe qui offre de meilleurs taux de réussite.

Dans les cas de FIV double don, la qualité des embryons est meilleure, car les ovules et les spermatozoïdes employés sont plus « forts », ce qui entraîne de meilleures possibilités de nidation et de développement des embryons.

Malgré tout, les autres facteurs, comme l’âge de la receveuse, la réceptivité utérine, les caractéristiques de l’utérus, le développement des embryons, etc. vont maintenir leur influence.

Taux de réussite de la FIV par pays

La plupart des pays étrangers disposent de bases de données qui publient les informations concernant les taux de réussite de chaque traitement de procréation médicalement assistée, y compris ceux qui mettent en jeu des ovocytes et du sperme de donneurs.

L’existence de comptes-rendus de ce type permet de créer une vue d’ensemble de l’usage de techniques de PMA dans un pays en particulier, par rapport aux autres pays. La carte que nous vous proposons ci-dessous est un exemple de comparaison du succès de la FIV-DO dans le monde.

Néanmoins, il faut prendre en compte une série de considérations cruciales pour comparer correctement les données de chaque pays :

  • L’accès de la base de données au grand public peut être facultatif et non pas obligatoire. Par conséquent, toutes les cliniques de fertilité ne publieront pas forcément leurs données.
  • Les taux présentés peuvent être différents, d’ou l’importance de ne pas confondre le taux de grossesse, le taux d’accouchement et le taux de natalité.
  • La législation influe sur les résultats, puisque toutes les techniques ne peuvent pas être réalisées de la même manière dans tous les pays.

Un exemple de l’impact de la législation sur les résultats de la FIV (qu’elle soit réalisée avec don de gamètes ou avec les gamètes des patients) est observable par rapport au nombre d’embryon qu’il est permis de transférer à l’utérus de la patiente.

Aux États-Unis ou en Inde, la législation ne marque pas de maximum du nombre d’embryons à transférer. Il est d’ailleurs courant que 4 embryons ou plus soient transférés à la receveuse.

À l’inverse, des pays comme l’Espagne et l’Italie marquent une limite légale de 3 embryons par transfert. En France aussi, mais cela reste exceptionnel. Les directives encouragent les cliniques à choisir de préférence le transfert de 1 ou 2 embryons.

Bien sûr, cela implique un taux de grossesse automatiquement plus faible. Pourtant, il faut noter que, comme le nombre de grossesses multiples diminue, le nombre de complications sanitaires, tant pour la mère que pour le fœtus, s’en voit réduit d'autant.

Parmi les complications médicales ainsi évitées ou diminuées, on distingue le diabète gestationnel, l’hypertension, la pré-éclampsie, les avortements spontanés ou fausses couches et même, la mort du fœtus.

La procréation médicalement assistée, comme tout traitement médical, exige que vous fassiez confiance au professionnalisme des médecins et de la clinique que vous avez choisis. Évidemment, tous ne sont pas identiques. Le Rapport sur la fertilité va sélectionner pour vous les cliniques les plus proches de vous et répondant à nos critères de qualité rigoureux. De plus, le système effectuera une comparaison des prix et des conditions proposées par les différentes cliniques afin de faciliter votre prise de décision.

Pourquoi une FIV-DO ou un don de sperme peut être un échec ?

En dépit du fait que les traitements de PMA avec ovocytes de donneuse présentent des taux de grossesse plus élevés, le but n’est pas toujours atteint. Parfois, les embryons n’arrivent pas à s’accrocher ou une fausse couche a lieu. Cela peut survenir pour différents motifs :

  • Altération utérines : polypes, myomes, endométriose, adhérences intra-utérine (syndrome d’Asherman) et utérus cloisonné, entre autres, qui peuvent empêcher ou rendre difficile la nidation. Il faudrait une intervention chirurgicale avant de tenter tout traitement de PMA.
  • Altérations immunologiques : le système immunitaire doit fonctionner correctement pour que l’embryon puisse s’implanter et se développer. Le corps maternel doit « tolérer » l’embryon.
  • Altérations de la coagulation sanguine (trombophilie) : une coagulation correcte est nécessaire pour augmenter les probabilités de nidation et de progression de l’embryon.
  • Causes génétiques : les spermatozoïdes peuvent contenir une altération génétique qui empêche l’embryon de croître.
  • Mauvaise qualité des embryons : les spermatozoïdes peuvent être de moindre qualité, ce qui a des répercussion sur l’embryon obtenu. Il est également possible, bien que peu fréquent, que les ovocytes de la donneuse ne présentent pas la qualité suffisante. Dans ce cas, il faudrait changer de donneuse.

Quant au succès des traitements d’insémination artificielle et de FIV, même avec du sperme de donneur, il dépend aussi d’autres facteurs comme l’âge, l’épaisseur et l’aspect de l’endomètre, la cause et la durée de l’infertilité, ainsi que le protocole et le traitement hormonal pour la stimulation ovarienne.

Afin de déterminer la raison pour laquelle le traitement peut échouer, le médecin spécialiste se doit d’analyser toutes les variations du processus. Il pourrait s’agir de changer simplement la méthode de stimulation ou le traitement, si c’est la réponse au traitement qui n’est pas adaptée.

L’alternative est le changement de technique : si la grossesse n’a pas lieu après 3 ou 4 tentatives d’insémination artificielle, il convient d’essayer la fécondation in vitro, ou, si la tentative était de FIV avec des ovules à soi, tenter une FIV-DO.

Vos questions fréquentes

Quelle est la différence entre l'ovodonation et l'adoption d'un embryon ?

Par Dr. Elisa Pérez Larrea (gynecologue).

L'ovodonation consiste à effectuer une fécondation in vitro, en utilisant les ovules d'une donneuse avec le sperme du partenaire. Il est également possible de pratiquer cette technique avec le sperme d'un donneur.

L'adoption d'embryons consiste à transférer des embryons existants qui ont été donnés par d'autres patients à des fins de reproduction. Il s'agit d'embryons provenant de patients sains, âgés de moins de 35 ans, qui ont subi avec succès un traitement de fécondation in vitro et ont satisfait leur désir génétique. Dans de nombreux cas, ils proviennent de donneurs d'ovules et/ou de sperme.

La principale différence entre l'ovodonation et l'adoption d'embryons est la possibilité d'utiliser le sperme du couple pour la fécondation, ce qui est impossible dans l'adoption d'embryons. En outre, tous les embryons générés dans un cycle après la fécondation des ovules appartiennent à la patiente, et il est possible de laisser des embryons vitrifiés après le transfert d'embryons. Le reste du processus, tant en termes de traitement pour le patient que de taux de réussite, est très similaire pour les deux procédures.

L’âge de la femme receveuse influe-t-il sur les taux de réussite des cycles de don d’ovocytes ?

Par Dr. Elena Izquierdo Trechera (gynécologue).

L'âge de la femme bénéficiaire influe sur les taux de réussite des cycles de don d'ovocytes, car certaines études ont détecté des changements au niveau utérin avec l'âge qui pourraient être responsables de la diminution plus marquée des taux d'implantation embryonnaire. à partir de 45 ans.

Quel est le taux de réussite du don d’ovocytes en France ?

Par Rebeca Reus (embryologiste).

Selon le rapport médical et scientifique publié en 2015 par l’Agence de la biomédecine, 1240 tentatives de don d’ovocytes ont eu lieu en France en 2014, tous centres confondus.

Ces tentatives ont pu être réalisées par FIV hors ICSI, par ICSI ou par TEC (transfert d’embryons congelés). Sur les 1240 tentatives, 253 (environ 20,4%) ont abouti à une grossesse échographique et 203 (environ 16,8%) ont terminé par un accouchement. 239 enfants sont nés vivants.

Si vous souhaitez consulter le détail des données par technique employée, suivez le lien indiqué : Agence de la biomédecine : Résumé de l’activité et des résultats d’AMP en 2014.

Ces taux assez bas, associés au cruel manque de donneuses dont souffre la France, incite de nombreuses personnes à pratiquer le tourisme procréatif pour bénéficier d'un don d'ovocytes.

Quels sont les meilleurs taux de réussite de FIV-DO à l’étranger ?

Par Rebeca Reus (embryologiste).

Les taux de réussite peuvent être différents d’un pays à l’autre, mais aussi d’une clinique à l’autre. Il n’est pas aisé de choisir une seule destination sur la base de statistiques générales. Nous vous suggérons de consulter cette carte : Meilleurs taux de réussite de la FIV-DO dans le monde.

De plus, nous vous conseillons de choisir la clinique qui s’adaptera le mieux à vos attentes et à vos besoins, en fonction des caractéristiques de votre problème de fertilité, de votre budget, etc.

Le Clomid peut-il augmenter les probabilités de succès d'une IAD ?

Par Rebeca Reus (embryologiste).

Le citrate de clomiphène, commercialement connu comme Clomid, est généralement prescrit contre l'infertilité car il favorise l'expulsion de l'ovule. Les taux de réussite de l'insémination artificielle avec sperme de donneur sous Clomid sont hauts, car ce médicament entraîne une ovulation dans les trois mois pour 80% des patientes.

Il est particulièrement indiqué dans les cas suivants: âge supérieur à 35 ans, surpoids ou sous-poids. Le dosage influe sur le taux de réussite. Le traitement de départ habituel est de 50 mg, qui peut être augmenté par le médecin si l'ovulation n'a pas eu lieu.

La rédaction vous recommande

Le manque d'opportunités pour accéder à un don d'ovocytes en France amène de nombreuses personnes, indépendamment de leur âge, de leur état civil et de leur condition sexuelle, à se rendre à l'étranger pour bénéficier d'un don d'ovocytes avec de meilleurs taux de réussite. Pour accéder aux descriptions des destination possibles, nous vous orientons vers notre article : Tourisme procréatif.

Pour connaître les particularités de la FIV-DO, suivez le lien : FIV avec don d'ovocytes.

Pour en savoir plus sur la FIV avec don de sperme, rendez-vous sur notre article : FIV avec sperme de donneur.

Enfin, vous pourrez comparez ces deux variantes de FIV avec la technique de l'IAD : Insémination artificielle avec sperme de donneur (IAD).

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Bibliographie

Auteurs et collaborateurs

Dr. Elena Izquierdo Trechera
Dr. Elena Izquierdo Trechera
Gynécologue
Diplômée en médecine de l'Université Complutense de Madrid, spécialisée en obstétrique et gynécologie, et en reproduction humaine de l'Université Rey Juan Carlos et de l'IVI. Actuellement, elle est gynécologue spécialisée dans la reproduction assistée à la clinique Eugin de Madrid. En savoir plus sur Dr. Elena Izquierdo Trechera
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 282866949
Dr. Elisa Pérez Larrea
Dr. Elisa Pérez Larrea
Gynecologue
Le Dr Elisa Pérez Larrea est diplômée en médecine et en chirurgie de l'Université de Saragosse et est spécialiste en obstétrique et gynécologie de l'Université d'Ovidedo. Elle est également titulaire d'une maîtrise en reproduction humaine de l'Université Complutense de Madrid. En savoir plus sur Dr. Elisa Pérez Larrea
Nombre de membres: 203311163
Dr. Federico Galera Fernández
Dr. Federico Galera Fernández
Gynécologue
Docteur spécialiste en Gynécologie et Obstétrique. Plus de 25 ans d'expérience dans le secteur de la Médecine Reproductive comme directeur et fondateur de l'Instituto Madrileño de Fertilidad (IMF). Pionnier et spécialiste en traitement de l'infertilité et la stérilité par l'application des différentes Techniques de PMA. En savoir plus sur Dr. Federico Galera Fernández
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 23196
 Rebeca Reus
Rebeca Reus
Embryologiste
Diplômée en Biologie humaine (Biomédecine) de l'Universitat Pompeu Fabra (UPF), Master en Laboratoire d'Analyses Cliniques de l'UPF et Master sur la Base Théorique et Procédures de Laboratoire en Procréation Assistée de l'Universidad de Valencia (UV). En savoir plus sur Rebeca Reus
Adapté au français par:
 Isabelle Gutton
Isabelle Gutton
inviTRA Staff

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