La seconde option serait de réaliser un diagnostic génétique prénatal par amniocentèse ou par biopsie de trophoblaste.
Le problème que présente ce type de diagnostic est que la grossesse est déjà existante et la seule solution en cas de maladie génétique est l'avortement.
Par ailleurs, les parents peuvent décider de ne pas utiliser leurs propres gamètes pour éviter de transmettre les troubles génétiques à leur descendence. Dans ce cas précis, ils auront recours au don d'ovocytes et/ou de sperme.
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Sara Salgado
Diplômée en Biochimie et Biologie Moléculaire de l'Universidad del País Vasco (UPV/EHU), avec un Master en Procréation Médicalement Assistée de l'Universidad Complutense de Madrid (UCM). Titre d'expert universitaire en Techniques de Diagnostic Génétique de l'Universidad de Valencia (UV).