La grossesse en soi est considérée comme un état physiologique de résistance à l'insuline. Cette hormone, en raison des changements provoqués par la gestation, est moins efficace et l'organisme doit en produire davantage pour que le glucose puisse être bien absorbé.
D'autre part, l'insulinorésistance est l'un des problèmes les plus typiquement associés au SOPK, donc si les deux situations se conjuguent (grossesse et SOPK), il est plus probable qu'une femme développe un diabète gestationnel ou de type II dans l'avenir.
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Victoria Moliner
Diplômée en Biochimie et Sciences Biomédicales de l'Universidad de Valencia (UV), Master Universitario en Biotechnologie de la Procréation Médicalement Assistée à l'UV et l'Instituto Valenciano de Infertilidad (IVI). Elle travaille actuellement comme chercheuse en biologie.