La stimulation ovarienne: définition, prix et efficacité

Par (gynécologue), (gynécologue), (gynécologue), (gynécologue), (gynécologue), (embryologiste) et (invitra staff).
Dernière actualisation: 05/07/2019

La stimulation ovarienne est la première étape pour commencer un traitement d'insémination artificielle, fécondation in vitro (FIV) ou ICSI avec ses propres ovocytes, ainsi que pour congeler ses ovules afin de préserver la fertilité ou donner des ovocytes. Pour cela, le traitement débutera par une administration d'hormones, qui facilitent la maturation des ovocytes dans l'ovaire de la patiente.

La finalité de la stimulation ovarienne est d'obtenir la maturation de plusieurs follicules à la fois pour augmenter le nombre d'ovocytes obtenus lors de la ponction ovarienne, et par conséquent, pour augmenter le nombre d'embryons et donc la possibilité d'obtenir une grossesse.

Vous trouverez ci-dessous un index des 8 points que nous allons aborder dans cet article.

Traitement hormonal de stimulation de l'ovulation

Lors de chaque cycle menstruel, un groupe d'ovocytes (une cohorte) commence sa maturation, mais un seul d'entre eux finit par arriver à maturité complètement. Le reste dégénère.

Pour que la maturation de plusieurs ovocytes puisse avoir lieu dans l'ovaire, il est recommandé d'administrer un traitement spécifique par injection pendant une période.

Grâce à ce traitement, l'ovaire est stimulé pour que ces ovocytes commencent à mûrir et ne dégénèrent pas. Ces médicaments sont des hormones qui contrôlent le développement des ovules dans l'ovaire: gonadotrophines et agonistes ou antagonistes de la GnRH.

Les gonadotrophines sont les hormones chargées de contrôler le cycle menstruel de la femme:

FSH (hormone folliculo-stimulante)
elle induit la maturation des follicules dans lesquels se développent les ovules dans l'ovaire.
LH (hormone lutéinisante)
elle peut être utilisée en complément de la FSH pour essayer de reproduire les conditions du cycle menstruel naturel.
Hormone hCG (gonadotrophina chorionique humaine)
elle est injectée 32-36 heures avant la ponction folliculaire. Cette hormone induit l’ovulation environ 36 heures après son administration, par conséquent il faut récupérer les ovules dans l'ovaire avant qu'ils soient libérés naturellement dans la trompe de Fallope, à savoir avant que l'ovulation se produise.

Agonistes et antagonistes

Les agonistes et antagonistes de la GnRH sont des homologues de l'hormone GnRH produite par le cerveau de manière naturelle pour contrôler la sécrétion d'hormones. Ces deux traitements sont utilisés pour réduire le contrôle cérébral du développement ovarien et pouvoir ainsi mieux contrôler le moment de l'ovulation.

Agonistes de la GnRh
ils contrôlent la maturation des ovules pour qu'elle se produise au même rythme pour tous les ovules. Ainsi, aucun ovule n'est plus mature qu'un autre.
Antagonistes de la GnRh
ils sont fréquemment utilisés en raison de leurs avantages. La femme les tolère bien et la stimulation n'est pas agressive.

Il existe plusieurs méthodes ou protocoles d'administration d’hormones lors de la stimulation ovarienne. Actuellement, on utilise deux techniques: le protocole long avec agonistes et le protocole court avec antagonistes, qui sont différents au niveau du nombre d’injections et de la durée.

Protocole court et protocole long

Le médecin devra décider quel protocole suivre et la dose à administrer, en suivant les besoins de la femme en fonction des résultats de son bilan hormonal, son âge, sa réponse ovarienne lors des cycles précédents, etc.

Protocole court
il débute normalement le troisième jour de la menstruation (troisième jour du cycle) avec des injections de gonadotrophines, soit FSH seule ou combinée avec de la LH, jusqu'à la maturation des follicules. À partir du jour 8, 5 jours après avoir commencé l'administration de gonadotrophines, l'antagoniste est administré pour éviter le pic de LH qui entraînerait l'ovulation. Lorsque les follicules sont matures, on administre l'hormone hCG pour provoquer l'ovulation 36 heures après.
Protocole long
lors du cycle menstruel antérieur, aux alentours du jour 21 du cycle, on commence l'administration d’'n antagoniste de la GnRH jusqu'à l'arrivée des règles 10-14 jours plus tard. Ainsi, l'ovulation spontanée est évitée. On administre ensuite des gonadotrophines, soit seulement FSH ou combinée à la LH, jusqu'à observation d'une taille folliculaire et de niveaux d'oestradiol adéquats indicateurs de maturité. Une fois que les follicules sont matures, on administre l'hormone hCG pour provoquer la maturation finale et l'ovulation 36 heures après.

Dans les deux cas, la ponction folliculaire pour recueillir les ovocytes aura lieu avant l'ovulation.

Lors d'un protocole court de stimulation, la durée est d'environ 15-17 jours, tandis que lors d'un protocole long, il faut ajouter 10-15 jours de préparation préalable.

Stimulation ovarienne étape par étape

Le traitement pour la stimulation ovarienne doit être administré par injections sous-cutanées dans la zone abdominale. Il n'existe pas en traitement oral.

La patiente devra effectuer les injections en suivant les recommandations de son médecin ou infirmière, et elle devra prendre soin de pas injecter une dose inférieure ou de ne pas le faire correctement.

Si vous avez des doutes concernant l'administration du traitement, il est recommandé de consulter le spécialiste, car si vous le réalisez de façon incorrecte, la réponse ovarienne ne sera pas adéquate et le cycle pourrait être annulé.

Habituellement, les injections doivent commencer avec l'arrivée des règles, à savoir le premier jour du cycle menstruel, bien que cela dépende du type de protocole de stimulation que la patiente va suivre.

La patiente devra réaliser des injections quotidiennement pendant le temps indiqué, les follicules qui commencent leur maturation continueront de se développer jusqu'à ce qu'ils atteignent la maturation totale, moment où ils sont recueillis.

Vous trouverez plus d'informations sur le sujet ici: La ponction ovarienne.

Suivi médical

L'usage des médicaments de stimulation requiert un suivi et un contrôle exhaustifs par le gynécologue. Pour cela, il est nécessaire de réaliser des analyses hormonales d'oestradiol pour évaluer la réponse ovarienne et la maturité des follicules.

Le nombre de follicules qui sont en maturation et leur taille peuvent être observés par échographies endovaginales régulières. Ainsi, si le développement est normal, on peut programmer la date de la ponction ovarienne pour récupérer les ovules lorsque les follicules atteignent 18 mm.

Afin que les embryons puissent s'implanter après le transfert, il est indispensable de réaliser un suivi de l'épaisseur de l'endomètre pendant l'administration du traitement de stimulation. Si l'épaisseur n'est pas correcte, l'implantation ne pourra pas avoir lieu.

Réponse de l'ovaire à la médication

L'ovaire peut répondre différemment au traitement de stimulation ovarienne, de manière à ce que les résultats du processus de stimulation peuvent diverger en fonction du traitement utilisé et de la patiente.

Une faible réponse ovarienne peut se produire, et seul un nombre réduit de follicules arrive à maturation: peu d'ovocytes sont recueillis lors de la ponction ovarienne.

Une faible répondeuse présente de faibles niveaux d'oestradiol dans ses analyses hormonales pendant le processus de stimulation.

En cas de faible réponse ovarienne, il est possible que la stimulation échoue et qu'aucun ovocyte ne puisse être prélevé lors de la ponction, soit parce que les follicules sont vides, soit parce qu'aucun n'arrive à maturité ou bien parce qu'aucun n'atteint une taille adéquate (minimum 18 mm).

Il est habituel que les femmes de plus de 35 ans possèdent une faible réserve ovarienne et par conséquent, une faible réponse de l'ovaire.

Cependant, il existe des cas de jeunes femmes avec une faible réponse ovarienne précoce ou une insuffisance ovarienne prématurée.

La procréation médicalement assistée, comme tout traitement médical, exige que vous fassiez confiance au professionnalisme des médecins et de la clinique que vous avez choisis. Évidemment, tous ne sont pas identiques. Le Rapport sur la fertilité va sélectionner pour vous les cliniques les plus proches de vous et répondant à nos critères de qualité rigoureux. De plus, le système effectuera une comparaison des prix et des conditions proposées par les différentes cliniques afin de faciliter votre prise de décision.

Il peut également se produire le contraire, la réponse ovarienne peut être excessive. Dans ce cas, la patiente peut développer un syndrome d'hyperstimulation ovarienne (HSO), qui peut mettre en danger sa santé.

Afin d'éviter les risques, lorsqu'il y a suspicion de syndrome d'hyperstimulation ovarienne, le cycle est annulé par précaution, de manière à ce qu'ait lieu la ponction ovarienne, mais ni la préparation de l'endomètre ni le transfert embryonnaire.

Symptômes et effets secondaires

Les hormones administrées, comme lors d'autres traitements, peuvent provoquer des effets secondaires. Parmi les plus courants, on retrouve:

  • Des écchymoses, ou bleus dans la zone de l'injection
  • Un gonflement de l'abdomen
  • Une augmentation du poids
  • Une sensation de lourdeur dans les jambes
  • Des changements d'humeur
  • Une sensation de pression dans les ovaires et sécheresse vaginale

Il s'agit de symptômes similaires à ceux de la menstruation et généralement ce sont de légers désagréments.

Cependant, si la réponse au traitement est excessive, la patiente peut développer le syndrome d'hyperstimulation ovarienne (HSO). Les conséquences dans ce cas peuvent être graves pour la patiente.

Lors du HSO, les ovaires se gonflent, et peuvent parfois causer une douleur d'ovaires, et le liquide peut de déverser vers la cavité pelvienne. Cela peut causer de légers effets, modérés ou graves, selon les symptômes observés.

Parmi les symptômes modérés, on peut observer de forts maux de tête, des gonflements, des vomissements, des maux de ventre, des crampes et de diarrhées. Dans les cas les plus graves, il pourrait y avoir des dommages sur les ovaires et une difficulté pour respirer.

Vos questions fréquentes

Comment est-il possible d'améliorer le processus de stimulation et sur quelles pistes travaille-t-on pour y arriver ?

Par Dr. Juan Antonio García Velasco (gynécologue).

La stimulation ovarienne génère, en plus de certains désagréments mineurs comme des gonflements ou une rétention d'eau mais sans exagération, de l'angoisse. En effet, tout d'abord, la peur de devoir procéder à une piqure une à deux fois par jour, mais aussi la peur de ne pas bien le faire (il existe beaucoup d'erreurs dans la prise des médicaments de la part de la patiente, parfois parce qu'elle ne sait pas, parfois par "honte" d'en parler au médecin).

Des progrès dans ce sens ont été réalisés grâce à la recherche de médicaments par voie orale mais, pour l'instant, la recherche a déjà beaucoup progressé dans ce sens, à savoir l'administration d'une injection dont l'effet dure 7 jours (Elonva) au lieu des 24 heures habituelles ; ceci réduit le nombre des injections et évite les erreurs mentionnées.

En quoi consiste la stimulation ovarienne par FIV?

Par Dr. Joel G. Brasch (gynécologue).

L'induction de l'ovulation pour la FIV implique l'administration de gonadotrophines avec un agoniste ou un antagoniste de la GnRH pour permettre le développement d'ovules multiples et prévenir une ovulation prématurée. La stimulation est surveillée à l'aide d'analyses sanguines et d'ultrasons. Les taux d'hormones sont mesurés à l'aide de l'analyse sanguine (œstradiol, progestérone, LH) et la taille des follicules est mesurée pour déterminer la maturité ovocytaire. Lorsqu'une cohorte de follicules se développe, une injection de déclenchement est donnée, soit HCG ou acétate de leuprolide, pour commencer le processus d'ovulation. Un prélèvement d'ovocytes trans vaginaux est ensuite effectué 35-36 heures plus tard.

La prise de pilules contraceptives est-elle obligatoire avant de commencer un traitement de PMA ?

Par Dr. Lydia Pilar Suárez (gynécologue).

Tous les programmes de PMA ne prescrivent pas de contraceptifs au préalable. Mais cela peut être utile chez les femmes ayant des cycles irréguliers ou qui ont besoin de prévoir le traitement de manière plus précise (date de début des règles, date de la ponction ovarienne ou date du transfert embryonnaire).

De plus, il ne faut pas oublier qu'il n'y a aucune preuve scientifique démontrant que l'utilisation de contraceptifs réduit les chances de réussite d'un traitement de PMA.
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Pendant combien de jours dois-je prendre les médicaments pour la stimulation ovarienne ?

Par Dr. Elena Izquierdo Trechera (gynécologue).

Le traitement de la stimulation ovarienne dure généralement de 8 à 11 jours mais tout dépend de chaque patient et de la réponse au médicament. L'important est de réaliser des échographies de contrôle pour déterminer le temps indiqué et ainsi obtenir la meilleure réponse possible pour chaque patiente.

Combien de jours dure la stimulation ovarienne lors d’une insémination artificielle ?

Par Dr. Carmen Ochoa Marieta (gynécologue).

Bien que cela dépende du type de cycles de la femme et de sa réponse à la stimulation ovarienne, en général, elle peut durer entre 10 et 12 jours.

À quoi sert Orgalutran ?

Par Dr. Jon Ander Agirregoikoa (gynécologue).

C'est un médicament "antagoniste de la gonadolibérine" qui agit contre l'action de cette hormone (GnRH) que produit notre hypothalamus.

Orgalutran est utilisé pour prévenir la libération prématurée de LH, qui peut provoquer une ovulation spontanée. Il est utilisé dans les cycles de FIV pour éviter l'ovulation car, sans son effet, le risque d'ovulation est élevé et entraînerait une réduction significative du nombre d'ovocytes récupérés lors d'une ponction folliculaire.

La stimulation ovarienne avance la ménopause ?

Par Sara Salgado (embryologiste).

Non, le traitement hormonal "sauve" ces follicules qui commencent la maturation mais allaient dégénérer et mourir. Lors d'un cycle naturel, un seul ovocyte arrive à maturité, mais le traitement force la maturation des autres follicules.

Existe-t-il des produits naturels pour stimuler les ovaires ?

Par Sara Salgado (embryologiste).

Non, la seule solution est une stimulation hormonale de l'ovulation par injection. Il n'existe pas de méthode naturelle. L'administration, bien que par voie sous-cutanée, est simple et indolore.

Quelle réponse est attendue lors de la stimulation ovarienne à 45 ans ?

Par Sara Salgado (embryologiste).

Il est fréquent que les femmes de plus de 40 ans possèdent une faible réserve ovarienne, et l'ovaire va donc présenter une faible réponse. De nombreuses femmes qui souhaitent avoir un enfant à cet âge-là ont besoin d'avoir recours au don d'ovocytes.

L'Assurance Maladie rembourse-t-elle le traitement de stimulation ovarienne ?

Par Sara Salgado (embryologiste).

En France, les tentatives de PMA (IA ou FIV) sont prises en charge à 100 % par la sécurité sociale dans les limites suivantes :

  • La femme doit être âgée de moins de 43 ans.
  • Le nombre maximum d'inséminations remboursées est de 6.
  • Les tentatives de FIV sont remboursées au maximum de 4.

Pour ce qui est du traitement de stimulation, il est couvert par la Sécurité Sociale française: les médicaments de stimulation et ceux de maintien de la phase luthéale, et le contrôle de la stimulation (échographies et / ou prises de sang, selon les jours et les centres).

Attention cependant aux dépassements d'honoraires que pratiquent de nombreux médecins car ils ne vous seront pas remboursés.

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Nous avons évoqué plus haut l'importance de la préparation des spermatozoïdes pour la fécondation. La capacitation spermatique est un processus qui se passe naturellement chez les spermatozoïdes et leur permet d'avoir la capacité de féconder l'ovule. Pour plus d'informations, suivez le lien: La capacitation spermatique.

En réalisant une stimulation ovarienne, on se rend compte de l'importance de la réponse des ovaires de la patiente. Certaines répondent mieux que d'autres, et cela garantit le succès du traitement. Vous trouverez plus d'informations ici: La faible réponse ovarienne.

Les médicaments utilisés pour la stimulation ovarienne contiennent des hormones qui agissent de manière naturelle sur le cycle menstruel et leur rôle est de provoquer la maturation de plus d’un ovocyte. Savez-vous comment ils fonctionnent? Toute l'information ici: Le traitement pour la stimulation ovarienne.

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Bibliographie

Auteurs et collaborateurs

Dr. Carmen Ochoa Marieta
Dr. Carmen Ochoa Marieta
Gynécologue
Diplômée en médecine de l'Université du Pays basque, avec un doctorat en médecine et chirurgie de l'Université de Murcie. Il dirige actuellement l'Unité de reproduction assistée du Centre d'études sur la reproduction (CER SANTANDER) à Santander et l'Unité de diagnostic de la médecine de reproduction à Bilbao. En savoir plus sur Dr. Carmen Ochoa Marieta
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 484805626
Dr. Elena Izquierdo Trechera
Dr. Elena Izquierdo Trechera
Gynécologue
Diplômée en médecine de l'Université Complutense de Madrid, spécialisée en obstétrique et gynécologie, et en reproduction humaine de l'Université Rey Juan Carlos et de l'IVI. Actuellement, elle est gynécologue spécialisée dans la reproduction assistée à la clinique Eugin de Madrid. En savoir plus sur Dr. Elena Izquierdo Trechera
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 282866949
Dr. Joel G. Brasch
Dr. Joel G. Brasch
Gynécologue
Le Dr Joel Brasch est le directeur médical de Chicago IVF. Il est certifié par l'American Board of Obstetrics and Gynecology, et possède plus de 25 ans d'expérience directe dans le traitement de la fertilité et les soins de la reproduction. Il est également directeur de la Division d'endocrinologie de la reproduction et de l'infertilité au Mount Sinai Medical Center. En savoir plus sur Dr. Joel G. Brasch
Dr. Jon Ander  Agirregoikoa
Dr. Jon Ander Agirregoikoa
Gynécologue
Diplôme en médecine de l'Université du Pays Basque, avec spécialisation en obstétrique et gynécologie. Il a plusieurs années d'expérience dans le domaine de la procréation assistée et est co-directeur et cofondateur des cliniques ART. Il combine également son activité médicale avec l'enseignement à l'Université du Pays basque. En savoir plus sur Dr. Jon Ander Agirregoikoa
Affiliation au Conseil de l'Ordre: 014809788
Dr. Juan Antonio García Velasco
Dr. Juan Antonio García Velasco
Gynécologue
Diplômé de Médecine de l'Universidad Complutense de Madrid. Spécialiste interne en Gynécologie et Obstétrique à l'Hôpital La Paz. Docteur en Médecine et Chirurgie de l'Universidad Autónoma de Madrid, avec une sous-spécialisation en Reproduction à l'Université de Yale (USA). Professeur Titulaire de Gynécologie à l'Universidad Rey Juan Carlos de Madrid. En savoir plus sur Dr. Juan Antonio García Velasco
 Sara Salgado
Sara Salgado
Embryologiste
Diplômée en Biochimie et Biologie Moléculaire de l'Universidad del País Vasco (UPV/EHU), avec un Master en Procréation Médicalement Assistée de l'Universidad Complutense de Madrid (UCM). Titre d'expert universitaire en Techniques de Diagnostic Génétique de l'Universidad de Valencia (UV). En savoir plus sur Sara Salgado
Adapté au français par:
 Marie Tusseau
Marie Tusseau
inviTRA Staff
Directrice éditoriale de la revue inviTRA en français et en anglais. En savoir plus sur Marie Tusseau

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